Archivage post-séquençage
L’archivage post-séquençage des échantillons d’ADN permet de répondre aux besoins actuels de la génomique en recherche et en santé et d’anticiper les futures évolutions technologiques. Il offre la possibilité de :
- Pouvoir revenir à l’échantillon d’origine ayant servi à la préparation des banques ou au séquençage direct
- Il est communément admis qu’il y a des erreurs dans les annotations génétiques. Celles-ci sont reconduites d’un génome à l’autre, comme les moines copistes du Moyen Age propageaient des erreurs d’un manuscrit à un autre. Le travail de correction de ces erreurs sera extrêmement long et fastidieux et devra nécessiter le retour aux échantillons originaux. (Jean Weissenbach)
- Dans le futur, l’évolution rapide et constante des formats des données numériques vont rendre ces données difficiles ou même impossibles à exploiter.
- Conserver les intermédiaires de séquençage ou banques d’ADN
- Dans les procédés de séquençage, les données intermédiaires saturent rapidement les serveurs, elles sont cependant nécessaires pour corriger des erreurs ou approfondir certains points. Conserver l’ADN de départ ou les banques permet d’éviter l’encombrement numérique, à condition que le stockage physique des échantillons biologiques ne conduise pas à l’altération des molécules.
Cette condition est remplie par la solution Imagene qui garantit la stabilité de l’échantillon, et donc assure le maintien de sa qualité et de son intégrité, avec une traçabilité inaltérable. Elle amène ainsi à un gain à plusieurs niveaux :
- retour possible à la librairie
- économies d’espace de stockage des données numériques.
- non re-prélèvement du patient avec tous les risques que ça comporte à chaque étape, et seulement quand cela est possible.